
Photo Alain Roberge, archives La Presse
S'il veut éviter d'être perçu comme le complice du patron Pierre Karl Péladeau dans ce conflit qui s'éternise, le gouvernement n'a d'autre choix que de revoir la loi anti-briseur de grève, a fait valoir la présidente de la centrale, Claudette Carbonneau.
«Refuser de moderniser les dispositions anti-briseur de grève après 20 mois de conflit (...) c'est choisir d'appuyer une partie et de mépriser 253 personnes qui sont sur le trottoir depuis bien trop longtemps», a fait valoir Mme Carbonneau.
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