De : Du Partit Quebecois
Les juges de la Cour suprême avant la loi 101.
Le député de Borduas et porte-parole de l’opposition officielle en matière de langue et d’éducation primaire et secondaire, Pierre Curzi, suspecte le gouvernement Charest d’avoir un agenda caché dans sa défense de la langue française. Il s’est montré perplexe devant l’attitude des députés libéraux qui ont refusé d’appuyer une motion réitérant le principe défendu unanimement en 2002 à l’effet que le Québec doit prendre les moyens pour franciser les immigrants et éviter que l’on contourne la loi 101 et dénonçant la décision de la Cour suprême qui charcute à nouveau la Charte.
Plutôt que de dénoncer cette décision, le gouvernement a tenté de diluer la motion en ne voulant que « prendre acte » du jugement et, donc, de légitimer le droit pour un francophone ou un allophone fortuné d’acheter une éducation anglaise à ses enfants et à toute sa descendance.
Plutôt que de dénoncer cette décision, le gouvernement a tenté de diluer la motion en ne voulant que « prendre acte » du jugement et, donc, de légitimer le droit pour un francophone ou un allophone fortuné d’acheter une éducation anglaise à ses enfants et à toute sa descendance.
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