De :canoe.ca
Photo :cyberpresse.ca
Karine Gagnon
Sam Hamad penche en faveur d'un TGV mais garde aussi la porte ouverte à un train rapide, «parce qu'il faut voir les opportunités avant de couper raide.»
© Didier Debusschère.
© Didier Debusschère.
Selon Sam Hamad, ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, non seulement Québec est passée bien au-delà d'une guerre avec la métropole, mais avec l'arrivée d'un TGV, «on va manger Montréal».
Déjà sacrée comme un modèle de développement économique dans l'est du Canada, la région de Québec vivra une véritable révolution avec l'arrivée d'un TGV, a estimé le ministre lors d'un entretien avec Le Jour nal de Québec. Car Québec ne sera plus la ville qui se trouve au bout de la rue, dans un cul-de-sac par rapport à Montréal ou Toronto. «Si tu n'as pas d'accès vers eux, tu es toujours en haut (...), les gens arrivent à Montréal et ne vont pas plus loin.»
Déjà sacrée comme un modèle de développement économique dans l'est du Canada, la région de Québec vivra une véritable révolution avec l'arrivée d'un TGV, a estimé le ministre lors d'un entretien avec Le Jour nal de Québec. Car Québec ne sera plus la ville qui se trouve au bout de la rue, dans un cul-de-sac par rapport à Montréal ou Toronto. «Si tu n'as pas d'accès vers eux, tu es toujours en haut (...), les gens arrivent à Montréal et ne vont pas plus loin.»
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