De : Argent
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Les tours à bureaux du centre-ville de Montréal ont été durement frappées par la récession qui a secoué l’économie canadienne l’an dernier.
Le taux d’inoccupation des immeubles locatifs de catégorie A et B a bondi à 8% à la fin de 2009 dans la métropole, selon une étude publiée par le courtier immobilier Newmark Knight Frank Devencore.
Il s’agit du troisième taux le plus élevé au pays, derrière Winnipeg et Calgary où 10,7% et 8,2% des locaux étaient vides à la fin de 2009. Montréal se classe aussi au dessus de la moyenne des grandes villes canadiennes qui s’est établie à 7% pendant la même période.
Au second semestre de 2008, le taux d’inoccupation des immeubles locatifs du centre-ville de Montréal avait atteint 7,4% alors qu’il s’établissait à seulement 4,9% à la fin de 2007.
«En 2008 et 2009, des entreprises ont réduit l’espace qu’elles occupaient en raison de la crise», a expliqué à Argent, Jean Laurin, président et chef de la direction de Newmark Knight Frank Devencore, soulignant que plusieurs locataires diminuent le nombre de pieds carrés occupés par chaque employé.
Il s’agit du troisième taux le plus élevé au pays, derrière Winnipeg et Calgary où 10,7% et 8,2% des locaux étaient vides à la fin de 2009. Montréal se classe aussi au dessus de la moyenne des grandes villes canadiennes qui s’est établie à 7% pendant la même période.
Au second semestre de 2008, le taux d’inoccupation des immeubles locatifs du centre-ville de Montréal avait atteint 7,4% alors qu’il s’établissait à seulement 4,9% à la fin de 2007.
«En 2008 et 2009, des entreprises ont réduit l’espace qu’elles occupaient en raison de la crise», a expliqué à Argent, Jean Laurin, président et chef de la direction de Newmark Knight Frank Devencore, soulignant que plusieurs locataires diminuent le nombre de pieds carrés occupés par chaque employé.
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